• "Sache que je ne t'oublierais jamais..."

     
    Je relisais ces quelques mots, là, assise sur le sol de ma chambre, quand mon père tapa à ma porte.

     
    J'essuyais les quelques larmes qui venais de coulées sur mes joues quand je lui dis :

     
    -Moi : Entre...

     
    -Père : Ca va? tu as fini de rangé tes affaires?

     
    -Moi : Oui ça va... J'ai presque terminer.

     
    -Père : Tu as appelé ta mère?

     
    -Moi : Pas encore...

     
    -Père : Tu devrais prendre un peu l'air, tu l'appelleras en rentrant.

     
    -Moi : Pourquoi sortir? Je ne connais rien ici...

     
    -Père : Justement tu rencontreras peut être du monde et tu pourras aussi admirer le paysage.

     
    -Moi : Hm.

     
    Ne pouvant lui dire non en voyant son visage désespéré, je pris une veste et partie.

     
    J'avais suivie un chemin, un peu boueux, il passait par une petite forêt. Je marchais lentement en regardant entre les feuilles des arbres qui étaient comme brulées par le soleil.

     
    -C 'est magnifique... tu aurais adoré voir cela...

     

     

     

    Présentation : Je m'appelle Mélissa, j'ai 17 ans. Je fais partie d'une de ces familles ou les parents sont divorcer et ne peuvent plus se voir sans s'engueuler. Je vivais jusqu'à présent chez ma mère, jusqu'au jour fatidique ou mon meilleur ami c'est suicider, me laissant seule. Sans aucun ami sur qui compter. Depuis se jour d'il y a maintenant 3 semaines, mes parents on décider de prendre les choses en main, pour ne pas que je ruine ma vie et que je ne fasse pas la même erreur que Cédric (mon meilleur ami). C'est pourquoi je doit maintenant habiter chez mon père, dans un endroit que je ne connais pas, pour mon t'ils dit "oublier les tristesses du passé"...

     


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  • La nuit venait de passée, elle avait pour moi été très longue... Car bien évidement comme toutes les personnes ayant l'age de 17 ans, nous nous devons d'aller au lycée et je ne pouvais m'empêcher d'y pensé. Le lycée... je n'y suis pas aller depuis se jour... Cette fois, je ne connaitrais personne. N'y éléves, n'y professeurs, oui... personne.

     

    -Père : Mel, c'est l'heure de partir !

     

    -Moi : J'arrive.

     

    Tout était calme, je regardais les arbres dépasser et étouffer par la vitesse de la voiture, quand enfin nous fumes arrivés.

     

    Mon père me laissa, je remarquais qu'il n'y avait personne autour de moi. J'étais seule.

     

    La cloche sonna, je ne pus m'empecher de sursauter. Des tonnes d'éleves sortaient et je me retrouvais là, tel une petite fille perdu dans la foule a la recherche de ses parents.

     

    Eyant besoin d'aide pour trouver ma salle de cours, je demandais mon chemin à un surveillant.

     

    Une deuxieme sonnerie retentis. je devait desormais faire le grand, le premier pas pour ma nouvelle vie.

     

    #TOC TOC TOC#

     

    -Professeur : Oui?

     

    J'entre.

     

    -Moi : Bonjour, je suis la nouvelle élève, Mélissa.

     

    -Professeur : Oh, et bien enchanter Mélissa, aller vous asseoir au fond.

     

    Je marchais lentement, les yeux de toutes cette classe étaient river sur moi, "C'est donc ce que l'on ressent en étant la nouvelle qui arrive en milieu d'année?" .

     

     


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  • Il s'était déjà écouler plus d'une semaine depuis cette rentrée. Je n'avais aucun amis. "Combien de temps faudrait t'il pour qu'une fille qui est aussi peu sociable que moi puisse s'intégrée?"

     

    Le fais de ne pas en avoir ne m'affectais pas. Ce qui me rendais, je pense le plus triste, c'étais le soir quand je rentrais. Je voyais mon père qui attendais, là, le regard vide voulant du plus profond de ses entrailles que je lui dise "je vais bien" , "je me suis fais des amis", mais non je baissais la tête puis montais dans le plus long des silence les interminables escaliers qui menais à ma chambre.

     

    Les journées passaient lentement... Un soir, que je me disais être aussi ordinaire que les autres, quelqu'un frappât a la porte d'entrée.

     

    #TOK TOK TOK#

     

    J'ouvre.

     

    Se tenais là un garçon, environ d'un ou deux ans de plus que moi.

     

    -Moi : Euh oui?

     

    -Garçon : Salut, je m'appel Gavin, tu dois être Mélissa je suppose?

     

    -Moi : Oui...?

     

    -Gavin : J'viens ici toutes les deux semaines pour manger le soir, disons que ton père est comme un oncle pour moi. Enfin bref, j'peux entrer?

     

    -Moi : Euh... oui entre. Paapaa y'a quelqu'un pour toi.

     

    -Père : Oh Gavin, je t'avais oublier, je te présente ma fille Mélissa.

     

    -Moi : On s'est déjà présenté... Bref je monte à plus tard... Gavin.

     

    -Père : Je suis désolé, elle n'est pas vraiment dans son assiette ces derniers temps.

     

    -Gavin : Pas de soucis, je comprend.

     

    Les minutes passaient, je les entendais rire, je sentait en moi l'envie de descendre et de me laisser aller avec eux. Mais, non, au lieu de cela je me bloquais, recroquevillais sur moi même, me fermais aux autres.

     

    -... : J'peux entrer?

     

    -Moi : Oui.

     

    -Moi : Oh Gavin.

     

    -Gavin : Ouais c'est moi, j'te dérange?

     

    -Moi : Non c'est bon.

     

    -Gavin : Sympa ta chambre.

     

    -Moi : Merci.

     

    -Gavin : De rien. Je peux me mêler de se qui me regarde pas?

     

    -Moi : Vas y.

     

    -Gavin : Tu devrais faire un effort avec ton père et être plus sympa avec. Tu sais il est vraiment super !

     

    Il regardait des photos étaler dans un coin du sol.

    -Gavin : C'est parce que t'as du quitter ton petit ami pour vivre ici?

    -Moi : #le visage crispé# C'est pas mon petit ami.

    Les larmes me montaient aux yeux, je souriais pour cacher ma peine...

    -Gavin : J'ai dis un truc qu'il faillais pas?

     


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  • Je ne répondais pas, car je savais au font de moi que si je sortais le moindre mot, ces larmes que je parvenais t'en bien que mal a retenir sortirais.

     

    -Gavin : Bon bah je crois que je vais te laisser alors...

     

     

    Il était partie. Je me posai lentement dans mon lit et songeais aux paroles qu'il venais de me dire. "Tu devrais faire un effort avec ton père et être plus sympa avec. Tu sais il est vraiment super !". Il a raison. En voulant cacher mes sentiments pour ne pas faire souffrir les autres... je les peines encore plus.

     

    Pourquoi est-ce que je n'arrive pas à m'en remettre?

     

    Je mettait endormie sur ces dernieres pensées...

     

    Lorsque que j'ouvrie les yeux, il etait 7h du matin, un debut de week end ordinaire. Le temps n'était pas merveilleu, les oiseaux ne chantaient pas. Comme si le monde était mort autour de moi.

     

    Je pris quelques minutes pour me préparer, puis sortie. Je marchais en direction de cette foret, la première choses que j'avais vus dans cette "ville". Plus je m'y promenais, plus je m'y enfonçais. Je remarquais un cours d'eau, toujours avec l'instinct de cette petite fille cacher en moi, je le suivait insouciante, se qui m'e mena tout droit à la vue d'un lac.

     

    J'admirais sa beauter assise sur le bas coté. Il semblait profond. Je regardais mon reflait, salit par cette couleur verdatre. Une larme. Une seconde. Et me voilà repartie dans se train train quotidien de larmes et de tristesse.

     

    Je me mis à crier, comme pour soulager mon coeur de tout se qu'il ressentait.

     

    "POURQUOI T'ES PARTIT HEIN?! TU NE POUVAIS PAS PLUTÔT ME DIRE SE QUI N'ALLAIT PAS? NAN T'AS PREFERER ME LAISSER LA, SANS CHERCHER A RESOUDRE LES PROBLEMES COMME ON L'AVAIT TOUJOURS FAIT?

     

    POURQUOI TE SUICIDER?!"

     

    Plus j'hurlais, plus je pleurai.

     

    "POURQUOI TE SUICIDER? MAINTENANT JE NE SUIS QU'UN FARDO, JE FAIS SOUFFRIR TOUTE LES PERSONNES AUTOUR DE MOI! ET IL N'Y A PERSONNE POUR ME CONSOLER COMME LORSQUE TU ETAIT LA.

     

    POURQUOI AVOIR FAIS CA? POURquoi t'être suicider... pourquoi m'avoir laisser?..."

     

    Il n'y avait aucun bruits ormis les son d'halètement qui sortaient de ma bouche.

     

    Je regardais l'eau, qui semblait vouloir m'attirer vers elle.

     

    "Peut être que comme ça, je ne ferrais plus souffrir personne... et je ne ressentirai plus rien... je serais libérée..."

     

    Chronique d'une adolescente partie 4


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  • "Libre."

     

    Je sentais toute ma personne tirer vers le fond. Je coulais. Mes yeux étaient fermer, sans doute par peur de voir la grande faucheuse. J'allais disparaitre. Je me sentais à la fois heureuse et effrayer. Je sentait mon air peu a peu s'échapper... j'étais lourde...

     

    Toutes mes force me quittais, ne me laissant ainsi plus le choix de remonter à la surface. Voilà comment la vie de Mélissa, adolescente à problèmes allait s'achevé... voilà comment je me tuais. Le bourdonnement que faisais l'agréable liquide de ce lac dans mes oreilles m'apaisais. L'eau devenais de plus en plus glacer, m'habituant ainsi a la froideur que dégageais cette mort si chaleureuse. En ces quelques minutes, je venais de revoir chaque instants de ma vie, chaque fragments de mes souvenirs.

     

    J'étais prête, je n'avais plus peur...

     

    -... : Mais t'es complètement inconsciente!! Comment tu peux être aussi stupide?! T'as pensé a ta famille?

     

    Je ne comprenais plus... quelqu'un venais de me repêcher, a moitié morte au fond du lac.

     

    Mes yeux étaient fermer, je n'arrivais pas à les ouvrir. J'étais dans les bras, chauds et protecteur... d'une personne que je ne pouvais identifier. Comment cette homme m'avait trouver au milieu d'une forêt ou seuls les arbres se promène?

     

    Les paupières ouvertes, j'attendais. Allonger dans mon lit, dans ma chambre. Est ce que l'homme était mon père? Comment pourrais-je le savoir, je n'allais tout de même pas lui demander s'il m'avais sauver d'une noyade. Ou plutôt d'une tentative de suicide...

     

     

    Les heures passaient et je restais là, immobile... Comment avais-je pus faire ça a mon père et ma mère, qui avaient tout fais pour que j'aille mieux. Je ne suis qu'une petite conne. Je me sentais si heureuse a l'idée dêtre libéré de mes souffrances que je n'ai meme pas songer qu'ils ressentiraient exactement se que je ressent, je pensais qu'ils iraient mieux, mais moi, est ce que je vais mieu? Non, ils serraient là a ma place...

     

     


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